Découverte de la musique classique

Cette semaine, tout en triant gentiment les vendanges (pour changer !), Solène (la femme de Guillaume, avec qui je travaille) expliquait qu'elle avait une place (qu'on lui avait donné et qui lui restait sur les bras) pour un concert de musique classique samedi soir. Béatrice (qui est - au passage - une véritable machine à la table de tri : elle  détecte le moindre petit mm de feuille, tout en parlant en même temps !) a tout de suite clairement répondu que franchement la musique classique, c'était pas son truc. Heu... Moi ? Malgré les tentatives désespérées de mon père pour me charger mon ipod de classique (si si papa, je te jure je les écoute en boucle !), ben, c'est pas vraiment mon truc non plus. Mais bon, je ne vais pas rester inculte tout de même. Donc, j'accepte l'invitation !

Donc samedi, Lolo nous a rejoint et petite séance shopping à SLO, suivit d'un resto italien aussi bon que lent (on a cru qu'on allait jamais arriver au concert à temps donc on a gobé nos pasta en 2 min), puis direction le concert !

La salle était récente, et le décors moderne, et peut adapté, selon moi. On était placées juste devant, et au milieu ! Donc l'idéal pour regarder, moins quand il faut demander à tout le monde de nous laisser passer parce qu'on est -effectivement - arrivées en retard...

Pour décrire ce concert, c'est simple : sublime. La musique nous porte, nous émeut et nous fait traverser le temps. Ce qui était d'autant plus intéressant, c'est de voir ce concert dans un pays étranger, cela fait d'autant plus ressortir le caractère universel de la musique.

Au programme : Mozart (bon, lui, ça va, de nom, on connaît), symphonie de Johannes Brahms (là, ça se complique), et concerto de piano de Dmitri Shostakocich (Shostakoi ?). Le moindre instrument, jusqu'au triangle, semble nécessaire. Un seul manque et le charme n'est pas le même. Vraiment, c'est une expérience à recommencer...